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Sylvie Vartan CD "Irrésistiblement Sylvie 1965-1968"

 

 

 

 

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En 2009 parait au Royaume-Uni un CD intitulé "Irrésistiblement Sylvie" composé de titres puisés dans le répertoire de Sylvie Vartan des années 1965 à 1968, produit par l'écrivain journaliste et historien de la musique Kieron Kyler.

 

Si - notamment dans ces années-là - la carrière de Sylvie Vartan s'est largement exportée dans de nombreux pays du monde, tel ne fut pas le cas en Angleterre où elle n'a jamais réussi à percer, malgré la parution de quelques disques.

 

Cette édition ne peut donc s'envisager comme une démarche commerciale, sa diffusion restant par essence extrêmement confidentielle.

 

Aussi peut-on y voir un hommage rendu à "la reine de la pop française" des 60's, destiné à un public curieux, sans doute intéressé par l'histoire de la pop européenne, mais en l'occurence notablement restreint. Pour autant, ce regard  venu tout droit du "Royaume de la Pop" ne manque pas d'intérêt et le propos méritait d'être traduit :  force est de constater qu'au moment de la sortie de ce CD, parmi les innombrables biographies écrites sur Sylvie Vartan, celle-ci est la seule dont l'auteur est britannique mais également l'une des rares à évoquer et valoriser l'entourage artistique musical de la chanteuse ... comme si, pour les journalistes français, la musique avait été un élément secondaire dans sa carrière ...

 

"En 1969, Sylvie Vartan était plus qu'une simple chanteuse. Elle était régulièrement la vedette de shows télévisés, dans lesquels elle suscitait des commentaires autant pour ses costumes et ses chorégraphies que pour ses chansons. Elle était devenue une icône, appartenant à la conscience collective nationale française. Mais c'étaient bien les chansons - la musique - qui étaient à l'origine de ce statut"  Kieron Kyler

 

Il est heureux qu'un auteur et journaliste anglais vienne le rappeler.

 

 


 

Année : 2009  -   Pays : Royaume-Uni  -  Label : RPM International


 

 

     

 

 ◄  COUVERTURE RECTO     ▼  LIVRET PAGE 1  

 

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 SYLVIE VARTAN EST la reine de la pop française. Elle a marqué les années 60 dans une France avide de pop. Mariée à l'icône du rock Johnny Hallyday, son adorable minois, son look à la pointe de la mode et sa vivacité ont fait pétiller sa  musique. "Irrésistiblement", la toute première compilation anglaise de son répertoire des années 60, rassemble ses morceaux 60's les plus groovy, les plus swing et les plus dansants. Sylvie a accordé une interview spécialement pour la sortie de ce disque. Couvrant l'âge d'or allant de 1965 à 1968, "Irrésistiblement" rassemble les meilleures chansons spécialement composées pour Sylvie. En France, les interprètes enregistraient alors principalement des adaptations de succès britanniques et américains, mais "Irrésistiblement" est la crème des chansons originales* pour Sylvie. Parmi ses auteurs-compositeurs on retrouve Mick Jones, qui plus tard deviendra célèbre en s'imposant comme la figure principale du groupe à succès des années 70/80 "Foreigner". Les compositions de Mick côtoient des raretés incluant les quatre titres en anglais** figurant sur les deux singles de Sylvie sortis en Angleterre en 1965, très recherchés. "Irrésistiblement", c'est irrésistible.

* Ce n'est toutefois pas tout à fait exact,  puisque, "Dis-moi que tu m'aimes" est adaptée de  "Namoradindha de um amigo meu" de Roberto Carlos.

"Gonna Cry" est enregistrée en anglais par Sylvie Vartan et d'abord en français par Johnny Hallyday sous le titre "Toujours plus loin"

"It's not a game" est enregistrée en anglais par Sylvie Vartan et d'abord en français par Thierry Vincent sous le titre "On n'aime pas deux fois"    

** Il s'agit de "I made my choice/One more day" et de "Thinking about you"/Another heart", quatre titres que Sylvie a enregistrés à la fois en anglais et en français ("Dans tes bras/Cette lettre là" et "Je préfère tes bras/Et pourtant je reste là").

 

 

 

 

 ▼  LIVRET PAGES 2 et 3  

 

 

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Sylvie Vartan est née le 15 août 1944 à Iskretz en Bulgarie. Après avoir passé quelque temps à Sofia, son père diplomate décide de migrer vers Paris avec sa femme et ses enfants, Sylvie a alors 10 ans*. En 1960, le hasard fait que la famille habite le même immeuble que Frank Ténot, co-animateur de l'émission de radio "Salut les copains". C'est une chance inouie pour le frère aîné de Sylvie, Eddie, qui rêve de percer dans le monde de la musique. Sur les ondes depuis 1959, "Salut Les Copains" ("Hi Guys" - titre inspiré de la chanson de Gilbert Bécaud) est la première émission de radio à diffuser régulièrement du rock n' roll américain. Du fait de son impact considérable en France, cette émission destinée aux adolescents est à l'origine de l'éclosion de toute une génération d'interprètes français, au premier rang desquels se trouve Johnny Hallyday, un blond imitant le style d' Elvis, qui sort son premier disque, "T'aimer follement" (une reprise du hit américain "Makin' love" de Floyd Robinson) au début des années 60. La pop française trouve véritablement son marché de masse avec le lancement en juillet 1962 du magazine mensuel "Salut Les Copains",  le pendant de l'émission de radio. "Eddie était un musicien de jazz " explique Sylvie.  "J'ai grandi dans une famille qui aimait la musique. Mon père jouait du piano et composait. Plus tard, mon frère a appris le cor d'harmonie, puis il est passé à la trompette vers 18 ou 19 ans. Il a commencé par jouer dans des groupes avant de devenir producteur. Il s'est occupé de ma carrière à mes débuts". En 1961, Eddie dirige une séance d'enregistrement pour le chanteur Frankie Jordan, qui est censé faire un duo avec l'expatriée britannique Gillian Hills, un genre de Bardot à l'anglaise.  Hills ne s'étant pas présentée, Eddie offre à Sylvie sa première occasion d'enregistrer un disque , "Panne D'essence", qui sort chez Decca. Dans la foulée, Sylvie signe un contrat chez RCA, sort son premier EP  fin 61 et devient la chanteuse française numéro 1. Elle est une pionnière, la première française d'influence anglo-saxonne (comme on dit en France) à connaitre le succès.  Françoise Hardy, qui au début préfére les ballades, la suit dans les charts fin 62 avec "Tous les garçons et les filles". Sheila se classe pour la première fois avec "L'école est finie' en avril 63. Des hordes de chanteuses suivront, mais c'est Sylvie qui ouvre la voie... Après son premier succès début 62, Sylvie Vartan s'éloigne rarement  des hit-parades français. Ce premier disque, "Quand le film est triste" - une version française du hit américain "Sad movies" de Sue Thompson de 1961 - donne le ton  pour les années suivantes. Fin 62 elle décroche  un nouveau tube avec "Le Locomotion", puis avec "Chance" (The Cookies 'Chains) au printemps 1963, et encore fin 64 avec "L'homme en noir", une version française de "Pretty woman" de Roy Orbsion. L'adapation en français de matériel américain, souvent subtile, fait mouche la plupart du temps- de nombreux morceaux ont un charme fou  - mais cela ne peut suffir à une carrière internationale sur le long terme. Quelle qu'en soit la qualité, une version française de "Breaking up is hard to do" a peu de chances de  faire grand bruit hors de France. Ayant signé chez RCA, Sylvie est soumise aux souhaits de la société américaine, quelle que puisse être sa nationalité. Pour Sylvie, l'idée de se tourner vers l'étranger  ne pose aucun problème. « Je me suis sentie internationale dès le début " dit-elle.     

* En réalité, 8 ans....

 

 

 

 ▼  LIVRET PAGES 4 ET 5   

 

 

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 "La firme RCA était solidement implantée au Japon, en Italie et en Amérique. J'ai fait très souvent des tournées au Japon, j'ai enregistré à Nashville. Le directeur américain de RCA voulait que j'enregistre à Nashville". C'est en septembre et octobre 1963 que pour la première fois le regard de Sylvie se porte au delà des frontières, lorsqu'elle enregistre l'album "A Nashville", là-bas, dans les studios locaux de RCA . Ces sessions ont donné naissance au super tube "La plus belle pour aller danser", une ballade mélancolique de Charles Aznavour tirée de la bande originale du film "Cherchez l'idole". "La plus belle..." se vend à plus d'un million d'exemplaires au Japon, où Sylvie reste une star de nos jours. Son passage de janvier à février* à L'Olympia de Paris, en co-vedette avec les Beatles, témoigne aussi du fait que pour Sylvie le monde s'agrandit: c'est là que les Beatles apprennent qu'ils sont numéro un en Amérique  . En mai 1964 Sylvie est à New York, où elle apparait dans l'émission de Johnny Carson. Son succès en France s'accompagne désormais d'incursions transatlantiques régulières. Son répertoire est encore essentiellement composé d'adapations de chansons américaines, principalement parce qu'il n'y a pas de matériel local équivalent. "Je me sentais plus chanteuse de rock'n'roll que chanteuse typiquement française" dit-elle . « Personne n'écrivait comme ça en France. Les chansons françaises étaient très françaises, de belles ballades. La langue anglaise comporte plus de mots courts qui lui donnent du rythme. Le français inspire plus de romantisme. J'ai toujours aimé les chansons rythmées et j'ai dû faire des concessions pour chanter des ballades. J'adorais Brenda Lee". Les penchants up-tempo de Sylvie sont renforcés par sa relation avec Johnny Hallyday, le premier rockeur français. Ils se rencontrent au printemps 1963 dans les coulisses de L'Olympia, et scellent leur amour en se mariant le 12 avril 1965. Après son mariage, Sylvie devient la reine de la pop française, auprès de son roi.  A cette époque, Johnny Hallyday est accompagné par deux musiciens anglais qui avaient également commencé à travailler pour Sylvie. Elle explique "Mon frère avait toujours recours à  des musiciens américains ou anglais, nous ne pouvions pas obtenir le même son avec des français". Le guitariste Mick Jones et le batteur Tommy Brown se fond connaitre  pour la première fois à L'Olympia en tant que membres du groupe anglais "Nero and The Gladiators" en 1963. Dick Rivers, star du rock'n'roll français, est tellement impressionné qu'il les intègre dans son groupe "The Krew Kats" (aucun rapport avec le groupe de Marty Wilde). Puis c'est le tour d'Hallyday, tout aussi admiratif, de se les approprier . Lorsque Sylvie joue à L'Olympia début 64 avec les Beatles, Micky et Tommy figurent parmi ses musiciens. *1964

 

 

 

 ▼  LIVRET PAGES 6 ET 7   

 

 

 

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Jones et Brown exercent une influence considérable sur l'évolution de Sylvie Vartan. "Ils fonctionnaient en binôme" raconte Sylvie. "Mick venait chez nous, dormait chez nous, comme un petit frère. J'ai découvert qu'ils écrivaient. J'ai adoré leur façon de le faire, ça avait du rythme. Ils ont écrit pas mal de chansons que j'aimais beaucoup. Je les chantais d'abord en anglais puisque c'est ainsi qu' ils les écrivaient, mais je pouvais tout aussi bien les faire en français. Jones et Brown se retrouvent  bientôt crédités sur de nombreux disques de Sylvie. Toutes les conditions sont réunies pour qu'en novembre 1964 Sylvie retourne en Amérique pour enregistrer à Nashville et à New York*, avec les arrangeurs Garry Sherman et Jimmy Wisner. L'album qui en résulte, "Gift Wrapped From Paris", sort aux Etats-Unis, en Amérique du Sud, au Japon et même en Israël, mais pas en France. Exclusivement en anglais, "Gift Wrapped..." inclut notamment "One More Day" (enregistré en français sous le titre "Dans tes bras" ("Je veux l'oublier"), "Gonna Cry", et l'incroyable proto-garage rock 'It's not a game", toutes ces chansons étant écrites par Tommy Brown ou Eddie Vartan spécialement pour Sylvie. Parmi les autres crédits figurent Johnny Hallyday et le parolier Georges Aber. Sortis en France petit à petit tout au long de l'année 1965, ces titres s'éparpillent sur plusieurs EPs (jusqu'en 1968-69, le principal support en France est le EP, super 45 tours 4 titres avec pochette illustrée). Sylvie dispose à présent d' une équipe capable d' écrire spécialement pour elle, finie l'obligation d'avoir recours à des adaptations ou de se cantonner aux ballades françaises. Elle dit "Je n'aurais pas aimé chanter des ballades en direct pendant une heure et demie, je me serais ennuyée"... La nouvelle stratégie porte ses fruits début 65 lorsque "Dans tes bras (Je veux l'oublier)" s'envole dans les hit-parades français. En novembre, la version anglaise de cette chanson, "One More Day", sort en single en Angleterre, avec en face B "I Made My Choice" (une version anglaise de  "J'ai fait un voeu"**). Le single n'est pas un succès en Angleterre et il est rapidement  remplacé dans les magasins par "Thinking about you" (une version anglaise de "Je préfère tes bras") et  "Another heart" ("Et pourtant je reste là") . La promotion comprend un passage dans "Ready Steady Go" où elle interpète "Another Heart" et la sortie au Royaume-Uni d'un EP en français. Sylvie joue également au "Royal Command Performance" de novembre avec son mari et Shirley Bassey. "J'avais 19 ans et j'étais ravie de rencontrer la reine" se souvient-elle. C'était une grande cérémonie. J'ai choisi ma robe, on m'a montré comment faire la révérence. Mais je n'étais qu'un enfant. Puis il y a eu un gala". Contrairement à Françoise Hardy, Sylvie n'a jamais fait partie de la scène anglaise. Sa maison de disques se concentre sur l'Amérique et une opportunité est peut-être manquée. "Je faisais ce qu'on me demandait" dit Sylvie. "Je serais allée plus souvent  en Angleterre si on me l'avait demandé. Mais je n'ai pas eu le temps de me sentir frustrée, si je ne suis pas venue souvent au Royaume-Uni c'est tout simplement que  j'étais occupée partout ailleurs,  c'était un tourbillon, comme un tremblement de terre". Les chansons originales continuent d'arriver et commencent à éclipser les adaptations. Sa version de "Sloop John B" à l'été 1966 ne grimpe pas dans les hit-parades français, mais la chanson suivante, "Ballade pour un sourire" est un succès de l' automne. Pour être juste, il faut préciser que Sylvie a d'autres choses en tête en 1966 : elle donne naissance à David, son fils et celui de Johnny, qui voit le jour en août. "Ballade pour un sourire est inspirée par la naissance de mon fils" explique Sylvie. "Une chanson très touchante". Il devient évident que les chansons sur mesure touchent plus la corde sensible que les reprises. Le EP  'Par amour, par pitié" comprend également une version de 'Walk away Renee" et "I can't help myself". "Par amour, par pitié" devient le hit  de la fin de 1966 et du début de 1967. Au fur et à mesure que 1967 avance, Sylvie commence à enregistrer en Angleterre, et passe moins de temps en Amérique. Elle a maintenant une famille, et le temps devient précieux.

* En réalité uniquement à New-York      **En réalité, une version en anglais de "Cette lettre-là"

 

 

 

 ▼  LIVRET PAGE 8 ET TRACKLISTING  

 

 

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"Comment ai-je eu le temps de respirer ?" Elle rit: "C'étaient des voyages, des concerts, des limousines, de la musique, des séances d'enregistrement, des séances photo. Cela donne le vertige. Je n'étais jamais fatiguée. J'avais une bonne constitution! Cela se vérifie en avril 1968 lorsqu'elle est victime d'un grave accident de voiture, dont elle se remet rapidement. Son frère Eddie dirige les sessions d'enregistrement jusqu'à la fin de 1967, mais des arrangeurs britanniques comme Arthur Greenslade, Reg Guest et David Whitaker travaillent également sur ses disques londoniens. Ce CD en compile le meilleur : "Dis moi que tu m'aimes" et "L'oiseau" (arrangés par Arthur Greenslade) , "Le jour qui vient", "Quel effet ça m'a fait" et "Irrésistiblement" (arrangés par Reg Guest). Les séances se déroulent souvent sur un rythme soutenu. "Je devrais être dans le livre Guinness des records" dit Sylvie. "J'ai enregistré un album en Angleterre en une nuit avec Arthur Greenslade. De quatre heures de l'après-midi à cinq heures du matin!". Cette session comprend "L'oiseau' et '"Quel effet ça m'a fait". En les écoutant, il est bien difficle d'y trouver la moindre trace de précipitation. Fin 68, "Irresistiblement" est un grand succès, un morceau rythmé, presque northen soul, co-écrit par son nouveau directeur artistique Jean Renard (qui succède à Eddie Vartan à la fin de 1967). La chanson grimpe également dans les charts japonais. Plus récemment, elle redevient un succès au Japon, après avoir servi pour une publicité télévisée.

 

En 1969, Sylvie Vartan était plus qu'une simple chanteuse. Elle était régulièrement la vedette de shows télévisés, dans lesquels elle suscitait des commentaires autant pour ses costumes et ses chorégraphies que pour ses chansons. Elle était devenue une icône, appartenant à la conscience collective nationale française. Mais c'étaient bien les chansons - la musique - qui étaient à l'origine de ce statut. Cette compilation aurait pu sortir il y a 40 ans, mais parfois c'est le temps qui permet d'apprécier les choses à leur juste valeur. Sylvie s'étonne qu'un label britannique ait compilé ses chansons, mais précise que "les grandes chansons vivront éternellement. Les gens les gardent dans leur cœur "  Kieron Tyler Février 2009

 

  1- Dans tes bras (Je veux l'oublier) (Edmond Vartan / Georges Aber / Johnny Hallyday. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1965
  2- Gonna Cry (Georges Aber / Francis Dreyfus / Thomas Brown. Francis Dreyfus Music)

      Arrangements Jim Wisner, direction d'orchestre Jim Wisner, Production Eddie Vartan Ⓟ 1965
  3- Je voudrals être un garçon (Edmond Vartan / Francis Dreyfus. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1965
  4- Cette lettre-là (Lucien Thibaut / Thomas Brown. Francis Dreyfus Music) Arrangements & production Eddie Vartan Ⓟ 1965
  5- C'est à deux pas (Georges Aber / Lucien Thibaut / Edmond Vartan. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1965
  6- Ce jour là (Georges Aber / Michael Jones. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1966
  7- J'ai fait un voeu (Lucien Thibaut / Michael Jones. Francis Dreyfus Music) Arrangements & production  Eddie Vartan Ⓟ 1965
  8-  It's not a game (Ralph Bernet / Jacques Barat /Edmond Vartan / Thomas Brown. Francis Dreyfus Music)

       Arrangements & direction d'orchestre  Jim Wisner Ⓟ 1965
  9- Je préfère tes bras  (Georges Aber / Lucien Thibaut / Thomas Brown. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1965
10- Et pourtant je reste là (Michael Jones / Lucien Thibaut. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1965
11- La chanson (M Laurent / L Petit. Copyright Control) Ⓟ 1966
12- Ballade pour un sourire (Gérard Bourgeois / Jean Max Rivière. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1966
13- Par amour, par pitié (Lucien Thibaut / Jean Renard. Francis Dreyfus Music) 

      Arrangements, direction d'orchestre et production Eddie Vartan Ⓟ 1966
14- Dis-moi que tu m'aimes (Roberto Carlos / Georges Aber. Seresta Edicoes Musicais / Editions IMG Liechti et Cie)

      Arrangements Arthur Greenslade, Eddie Vartan Ⓟ 1967
15- Le jour qui vient (Georges Aber / Thomas Brown / Michael Jones. AMI Soc / Tulsa Soc) Arrangements Reg Guest Ⓟ 1967
16- L'oiseau (Eric Charden / Monty / F. Gerald. Copyright Control) Arrangements Arthur Greenslade Ⓟ 1967
17- Quel effet ça m'a fait  (Jean Renard / Lucien Thibaut. Eden Roc Editions SARL) Arrangements Reg Guest Ⓟ 1967
18- IrrésIstIblement (Jean Renard / Georges Aber. Copyright Control) Arrangements Reg Guest Ⓟ 1968
19- One more day (Dans tes bras je veux l'oublier) (Georges Aber / Edmond Varian / Johnny Hallyday / Thomas Brown. Francis Dreyfus Music)

       Arrangements & direction d'orchestre Garry Sherman Ⓟ 1965
20-  I made my choice (Cette lettre-là) (Thomas Brown / Lucien Thibaut. Francis Dreyfus Music)

       Arrangements & direction d'orchestre Jim Wisner Ⓟ 1965
21- ThInking about you (Je préfère tes bras) (Georges Aber / Lucien Thibaut / Thomas Brown. Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1965
22- Another heart (Et pourtant je reste là) (Michael Jones / Lucien Thibaut Francis Dreyfus Music) Ⓟ 1965


Ⓟ 1965-1968 Sony Music Entertainment (France) SAS

All tracks licensed courtesy of Sony Music Entertainment (UK) Limited 4

   

 

 ▼ VERSO  LIVRET  

 ▼ VERSO  CD  

 

 

 

 

 

   
  Drapeau britannique     Drapeau français  

Un produit RPM - Compilé par Kieron Tyler - Compilation produite par Kieron Tyler et Mark Stratford - Design et illustration Dominique Thackray - Merci à Patrice Hourbette du Bureau Export de la Musique Française à Londres et à  Annick Geisler de Sony France. Compilation © et   2009 RPM Retrodisc - Commercialisé et distribué par Cherry Red Records Ltd - Fabriqué par EC/MCPS

 

Sylvie Vartan est  la reine de la pop française."Irrésistiblement", la toute première compilation anglaise de son répertoire des années 60, rassemble ses morceaux 60's les plus groovy, les plus swing et les plus dansants. Couvrant l'âge d'or allant de 1965 à 1968, "Irrésistiblement" rassemble les meilleures chansons spécialement composées pour Sylvie. Parmi ses auteurs-compositeurs on retrouve Mick Jones, qui plus tard deviendra célèbre en s'imposant comme la figure principale du groupe à succès des années 70/80 "Foreigner". Le livret contient une interview que Sylvie a spécialement accordée pour la sortie de ce disque.

 

 


     
 

Discographie originale de référence

dans l'orde de présentation du livret

 

 
     
   
 

 

 

 

Drapeau français "Dans tes bras"

RCA VICTOR  86.084 M Ⓟ 1965

 

 

Drapeau français "Cette lettre-là"

RCA VICTOR  86.096 M Ⓟ 1965

 

 

Drapeau français "L'oiseau"

RCA VICTOR  87.050 M Ⓟ 1968

 

 

Drapeau français "Ballade pour un sourire"

RCA VICTOR  86.081 M Ⓟ 1966

 

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Sylvie Vartan EP  "Quand tu es là"  RCA VICTOR  86.108 M Ⓟ 1965

Drapeau français "Quand tu es là"

RCA VICTOR  86.108 M Ⓟ 1965

 

 

Sylvie Vartan EP "Mister John B."  RCA VICTOR  86.170 M Ⓟ 1966

Drapeau français "Mister John B."

RCA VICTOR  86.170 M Ⓟ 1966

 

 

Sylvie Vartan EP  "Baby Capone"  RCA VICTOR  87.071 M Ⓟ 1968

Drapeau français "Baby Capone"

RCA VICTOR  87.071 M Ⓟ 1968

 

 

Sylvie Vartan EP "Par amour par pitié"  RCA VICTOR  86.187 M Ⓟ 1967

Drapeau français "Par amour par pitié"

RCA VICTOR  86.187 M Ⓟ 1967

 

 

Sylvie Vartan EP "C'était trop beau"  RCA VICTOR  86.125 M Ⓟ 1965

Drapeau français "C'était trop beau"

RCA VICTOR  86.125 M Ⓟ 1965

 

 

Sylvie Vartan EP "Un peu de tendresse"  RCA VICTOR  87.033 M Ⓟ 1967

Drapeau français "Un peu de tendresse"

RCA VICTOR  87.033 M Ⓟ 1967

 

 

Sylvie vartan EP "Un peu de tendresse"  RCA VICTOR  87.033 M Ⓟ 1967

Drapeau français "Comme un garçon"

RCA VICTOR  87.046 M Ⓟ 1967

 

 

 

Sylvie vartan SP Angleterre  "One more day/  I made my choice"  RCA VICTOR  1490 Ⓟ 1965

Drapeau britannique "I made my choice/

One more day"

RCA VICTOR  1490 Ⓟ 1965

 

 

Sylvie Vartan SP Angleterre "Thinking about you/  Another heat"  RCA VICTOR 1495 Ⓟ 1966

Drapeau britannique "Thinking about you/

Another heat"

RCA VICTOR 1495 Ⓟ 1966

 

 

 


 

Musiciens cités dans la biographie du CD

Micky Jones et Tommy Brown

 

Chansons écrites ou/et composées pour Sylvie Vartan

par Micky Jones et Tommy Brown:

La vie sans toi Etoile séparateur  Le jour qui vient Etoile séparateur Face au soleil Etoile séparateur C'est un jour à rester couché* Etoile séparateur Carousel Etoile séparateur Beaucoup d'amour un peu de patience** Etoile séparateur Suzan Etoile séparateur Une poignée de monnaie Etoile séparateur Annabel

par Micky Jones :

Ce jour là Etoile séparateur J'ai fait un voeu Etoile séparateur Another heart  Etoile séparateur  Et pourtant je reste là

par Tommy Brown :

Gonna cry*** Etoile séparateur  Cette lettre-là Etoile séparateur One more day Etoile séparateur One more time encore une fois*** Etoile séparateur I've made my choice Etoile séparateur It's not a game****    Etoile séparateur Thinking about you Etoile séparateur Je préfère tes bras Etoile séparateur Dis-lui qu'il revienne Etoile séparateur Encore un jour une nuit Etoile séparateur Rock'n roll man***** Etoile séparateur Talking about love

*       Ainsi que les arrangements

**     Enregistrée en anglais par Tommy Brown et en français par Sylvie Vartan

***    Enregistrée en français par Johnny Hallyday et en anglais par Sylvie Vartan

****    Enregistrée en français par Thierry Vincent et en anglais par Sylvie Vartan

*****  Enregistrée en français par Johnny Hallyday, en anglais par Sylvie Vartan et en 

            français dans version alternative qui reste inédite jusqu'en 2012.     

 

Sylvie Vartan en répétitions avec Eddie Vartan (trompette),  Tommy Brown (batterie) et Micky Jones (guitare)

    Sylvie Vartan en répétitions avec Eddie Vartan (trompette),

    Tommy Brown (batterie) et Micky Jones (guitare, en veste noire) 

    Photo Jean-Marie Périer © 1965 (et non 1964 comme indiqué par 

    erreur par JMP dans son livre "Mes années 60")

 

 Micky Jones, guitariste et choriste de Sylvie Vartan  (ici en 1964)

 Micky Jones, guitariste et choriste de Sylvie (ici en 1964)

 

Sylvie  présente Micky Jones et Tommy Brown (1965)

 

 

 

Garry Sherman, Jim Wisner (New-York 1964) 

David Whitaker, Arthur Greenslade et Reg Guest (Londres 1966-1967)

(Arrangeurs)

 

 

 

Chansons arrangées pour Sylvie Vartan

par Garry Sherman:

La vie sans toi Etoile séparateur  I can't make him look at me Etoile séparateur

One more time, encore une fois

par Jim Wisner :

I heard somebody say Etoile séparateur I made my choice Etoile séparateur

My boyfriend's back Etoile séparateur Gonna cry Etoile séparateur I wish you well Etoile séparateur Since you don't care Etoile séparateur  It's not a game Etoile séparateur  Alley oop Etoile séparateur Love has laid its hands on me 

par David Whitaker

Pas drôle cette histoire là  Etoile séparateur  Deux mains Etoile séparateur

Il ne faut pas aimer Yann  Etoile séparateur  Drôle de fille

par Arthur Greenslade

Moi je danse Etoile séparateur Je n'ai pas pu résister Etoile séparateur Donne moi ton amour Etoile séparateur 2'35 de bonheur Etoile séparateur Comme un garçon Etoile séparateur L'enfant aux papillons Etoile séparateur Nuit de neige Etoile séparateur L'oiseau Etoile séparateur

Un soir par hasard

par Reg Guest

Le testament Etoile séparateur Le jour qui vient Etoile séparateur Elle est partie Etoile séparateur

Quel effet ça m'a fait Etoile séparateur Katamango

par Arthur Greenslade et/ou Reg Guest

Baby Capone Etoile séparateur Pas en été Etoile séparateur Irrésistiblement Etoile séparateur

Je suis comme ça 

 

Enregistrement à New York fin 1964 de l'album "Gift wrapped from Paris"  de Sylvie Vartan sous la direction musicale de Garry Sherman et Jimmy Wisner 

Enregistrement à New York de l'album"Gift wrapped from Paris" sous

la direction musicale de Garry Sherman et Jim Wisner, photo Philippe d'Argence ©1964  (presse portugaise : "Album de cancao"du 01/06/65)

 Garry  Sherman arrangeur américain Jimmy Wisner arrangeur américain David  Whitaker arrangeur britannique Arthur  Greenslade arrangeur britannique Reg Guest arrangeur britannique

Garry

Sherman

Jim

Wisner

David

Whitaker

Arthur

Greenslade

Reg

Guest

 

 

 

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